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Texte libre





Je me présente à vous non pour témoigner avec la sempiternelle compassion des vedettes du grand bal presque trentenaire de l'UMP-S mais pour agir sur le terrain, défendre nos valeurs et construire l'avenir de vos enfants en Anjou.

L'Anjou mérite un renouvellement du paysage politique...des familles politiques. Il faut laisser tomber le rouge-à-lèvre et réinvestir la politique de sa fonction première : protéger le peuple contre les grands malheurs publics plutôt que de s'échiner à lui fabriquer du bonheur privé. Ce propos n'est pas flatteur, mais il est du devoir de l'homme public respectueux de sa nation de dire ce qui ne va pas et surtout d'agir sur les causes, pas de maquiller les symptômes !


En effet, ma conviction profonde est que la droite bisounours nous conduit tout droit vers le socialisme. C'est pourquoi, il faut que la France rurale, patriote et républicaine soit représentée à l'assemblée pour pouvoir peser dans les trop rares débats qui s'annoncent pour les 5 prochaines années, N. SARKOZY ayant rejetté par avance toute idée de referendum et de proportionnelle.

Je suis le candidat de la relève et du courage pour légiférer sur l'éducation, la justice, la défense, contrôler l'action du gouvernement et garantir une ligne politique claire autour de quelques engagements forts, des choix, une hiérarchie de valeurs :
- la Famille plutôt que le mariage homosexuel
- la France des terroirs plutôt que les technocrates de Bruxelles
- la République plutôt que les communautarismes

Le 10 juin, votre voix compte pour la France.
Elle est votre propriété, elle est ma priori
té.Rédacteur Agoravox

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Elu député du Haut-Anjou je m'engage
à forcer le gouvernement à appliquer un programme de droite pour redresser notre pays. Voici le cap politique que je défendrais à l'Assemblée Nationale :


Lancer une politique de codéveloppement ambitieuse avec l'Afrique pour stopper le drame de l'immigration
La France n'a plus les moyens d'accueillir de nouveaux immigrés : elle n'a pas d'autre choix que celui de l'immigration stoppée. En amont, il faut mettre en place une politique de codéveloppement des pays du Tiers-Monde. En aval, une politique de fermeté et de francisation des populations installées sur notre sol.

Promouvoir une grande politique familiale et éducative
Premier cadre d'éducation, de protection et d'entraide, les familles assurent une mission d'intérêt national qui n'est plus valorisée à la hauteur de leur contribution à la stabilité de la société qu'elles étayent avec l'État et l'école. Redonner aux familles la place qui leur est due (les droits) et les rappeler à leurs responsabilités (les devoirs) s'imposent comme une des grandes priorités politiques pour les années à venir.

Promouvoir l'Europe des patries sans la Turquie
La victoire du non au référendum a permis de stopper la fuite en avant de l'Union européenne. Enfermés dans leur schéma fédéraliste, les partisans de la Constitution européenne sont aujourd'hui incapables d'imaginer une autre voie pour l'Europe. Nécessaire pour affronter certains grands défis du XXIe siècle, tels la politique de l'énergie, le codéveloppement ou la lutte contre les réseaux mafieux transnationaux, elle doit pourtant impérativement être relancée. Avant de négocier
avec ses partenaires une charte encadrant strictement l'Union européenne, la France doit provoquer un électrochoc.

Faire appliquer le principe « plus de travail, moins d'impôts »
Entre la mondialisation sauvage et le carcan fiscal et réglementaire qui pèsent sur elles, les entreprises ne sont pas en mesure de s'épanouir. La France ne manque pourtant pas
d'entrepreneurs. Il convient de protéger le travail de la mondialisation, de le libérer et de le promouvoir en privilégiant les artisans, les commerçants et les PME enracinées.

Défendre les 30 000 communes rurales et leurs terroirs
Abandonné par les gouvernements successifs, le monde rural se meurt lentement. Lui redonner sa place est une des grandes priorités de Louis.

État : unité, fermeté, sécurité
Garant du caractère indivisible de la République, l'État est un pilier essentiel. Une nation sans État, c'est le patriotisme qui s'étiole ou, au contraire, s'exacerbe. Rétablir son autorité, c'est rétablir son unité (face au communautarisme), sa fermeté (face aux féodalités syndicales), l'autorité de ses lois,
qui doivent être mises en oeuvre par une administration efficace et sanctionnées par une justice équitable.
14 juin 2007 4 14 /06 /juin /2007 23:57

poutinesoljenitsyne.jpgL’ex-colonel du KGB devenu patron du Kremlin a remis un prestigieux prix d’État, hier, à l’ancien dissident soviétique, un « écrivain majeur » qui a « dédié sa vie à sa patrie ».

C’EST UNE ironie de l’histoire. Alexandre Soljenitsyne, le pourfendeur du totalitarisme soviétique, décoré de l’une des plus hautes distinctions officielles russes par Vladimir Poutine, le chef du Kremlin, accusé de faire reculer la démocratie dans son pays. L’auteur de L’Archipel du goulag, expulsé d’URSS en 1974, récompensé par l’ancien colonel du KGB qui a qualifié la disparition de l’Union soviétique de « plus grande catastrophe géo-politique du siècle ».

Et pourtant, à l’occasion de la fête nationale célébrée hier, Vladimir Poutine a bel et bien signé, la semaine dernière, un oukase décernant le prix d’État à Alexandre Soljenitsyne, « historien majeur », le premier à avoir rapporté « l’une des tragédies de la période soviétique », selon le communiqué du Kremlin. Âgé de 88 ans, affaibli, le lauréat du Nobel de littérature (1970) ne s’est pas déplacé pour recevoir son titre prestigieux. « Alexandre Issaïevitch voit ce prix comme une marque d’attention pour l’oeuvre de toute sa vie », a commenté son épouse Natalia à l’agence Interfax. « Ce prix donne un certain espoir, poursuit-elle, […] que notre pays tire la leçon de son autodestruction au XXe siècle et qu’il ne la répète jamais. »

Résurgence du nationalisme

Le paradoxe n’est qu’apparent. Car depuis son retour d’exil, en 1994, l’écrivain à la barbe de prophète, qui vit reclus dans la région de Moscou, s’est montré de plus en plus sévère pour l’Occident. Il y a un an, dans l’une des rares interviews accordées à la presse, il avait fustigé « l’encerclement total de la Russie » par l’Otan et les États-Unis qui « placent leurs troupes d’occupation dans les pays, l’un après l’autre ». Pour lui, avait-il confié à Moskovskyie Novosti, le rapprochement de la Russie avec l’Otan pourrait conduire « à la chute de la civilisation chrétienne ».

Un discours qui coïncide parfaitement avec celui du Kremlin, même si l’ancien dissident a parfois pris ses distances avec Poutine, sur la Tchétchénie par exemple. Dans son discours à la nation du 26 avril dernier, Vladimir Poutine avait averti que « copier aveuglément les modèles (culturels) étrangers conduira inévitablement à la perte de notre identité nationale ».

Intérêt tactique

Pour le Kremlin, dénoncer « l’impérialisme américain » et les projets de révolution orange fomentés à l’étranger présente un intérêt tactique, à neuf mois de la présidentielle. Rien de tel pour rassembler le peuple autour du clan au pouvoir. Cette résurgence du nationalisme répond cependant à l’aspiration profonde des Russes, humiliés par la chute de l’empire et déboussolés par la fulgurante transformation de la société, à se raccrocher à des valeurs. Mais lesquelles ? Comme pour faire écho à l’appel de Soljenitsyne de revenir aux principes moraux traditionnels, Vladimir Poutine s’affiche régulièrement avec le patriarche orthodoxe de toutes les Russies, Alexis II. Lequel avait reçu en 2006, le prix d’État.

Comme la majorité de ses concitoyens, Soljenitsyne tient Mikhaïl Gorbatchev pour l’un des grands responsables de la capitulation morale de la Russie. « Je respecte Soljenitsyne qui me reproche d’avoir affaibli la Russie, déclarait Gorbatchev le 30 mai dernier, en présence du Figaro. Mais sans la Glasnost (« transparence », terme donné à la politique d’ouverture amorcée en 1985), il serait encore dans le Vermont à couper du bois et signer des autographes. »

Source : Le Figaro

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